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papillomavirus et soins naturels

Papillomavirus et soins naturels complémentaires

Le papillomavirus est un virus dont on connait les risques pour la santé chez les femmes. Chez une partie d’entre elles, ce virus peut causer des lésions au col de l’utérus, favorisant notamment l’apparition d’un cancer très problématique. La médecine classique propose comme solutions anti virales le vaccin à titre préventif, et des soins qui peuvent être chirurgicaux notamment, en cas de lésions dues à ce virus.

Sans jamais remplacer les traitements médicaux allopathiques ou classiques, ni la vaccination, les soins de naturopathie peuvent appuyer vers la guérison et l’éradication de ce virus. Cet article de notre blog va vous montrer les différentes solutions possibles, que nous avons éprouvées chez plusieurs femmes avec succès.

Qu’est ce que le papillomavirus ?

Le papillomavirus humain (HPV) est une famille de virus qui infectent la peau et les muqueuses. Il en existe plus de 200 types différents, classés en fonction de leur tropisme et de leur pouvoir pathogène. Ces agents infectieux se transmettent principalement par contact sexuel, mais aussi par contact peau à peau.

Caractéristiques principales :

  • Structure : Ce sont des virus à ADN, non enveloppés, avec une capside à symétrie cubique de 55 nm de diamètre.

  • Spécificité : Ces germes viraux sont hautement spécifiques à l’espèce hôte et se multiplient exclusivement dans les kératocytes.

  • Types : On distingue les HPV à tropisme cutané et ceux à tropisme muqueux. ces derniers sont les plus dangereux, car ils peuvent léser la muqueuse infectée, qui peut ensuite évoluer en tumeur maligne.

Selon le type de papillomavirus, donc dans 90% des cas, ces agents pathogènes peuvent provoquer des infections cutanés bénignes (mains, pieds) ou génitales également bénignes (condylomes). Cela se manifeste souvent par des verrues qui sont des tumeurs bénignes infectieuses.

Mais les HPV de type 16 et 18 provoquent quant à eux des infections à haut risque oncogène. C’est le cas du papillomavirus du col de l’utérus, qui peut provoquer des lésions précancéreuses évoluant potentiellement en cancers.

Pour la plupart des papillomavirus, les infections guérissent spontanément dans les deux ans. Mais ans le cas du papillomavirus du col de l’utérus, l’infection persiste et devient chronique. En ce cas peuvent s’installer des lésions de la paroi utérine, qui peuvent évoluer en cancer de l’utérus.

Des vaccins sont disponibles pour protéger contre plusieurs souches de HPV, notamment celles à haut risque oncogène.

Que faire en cas d’infection à papillomavirus ?

Dans les 90% des cas bénins, on peut prendre un traitement naturel à base d’ail, riche en sélénium et en germanium, ou même prendre du sélénium et du germanium pendant un mois. En cas de verrue plantaire ou palmaire, on peut aussi appliquer par voie externe de l’huile essentielle pure de ravintsara, un excellent antiviral naturel.

Le petit truc consistant à appliquer du jus d’oignon ou d’ail sur la verrue est également très efficace. Il faudra en appliquer tous les matins, et gratter la verrue tous les soirs.

Mais dans le cas du papillomavirus du col de l’utérus, il faudra évidemment un suivi médical, pour suivre notamment l’évolution des lésions éventuelles.

Médicalement, le médecin pourra décider éventuellement un nettoyage chirurgical des lésions éventuelles, surtout si cela se cancérise.

Bien auparavant, en naturopathie, notamment pour renforcer l’immunité, vous pouvez prendre la combinaison reishigermanium.

Le reishi est un champignon très utilisé au Japon et en Californie comme antiviral et immunostimulant. Notamment, il améliore la réponse immunitaire, en activant les cellules immunitaires productrices d’anticorps, les lymphocytes B, par des sécrétions accrues de cytokines, produites par les lymphocytes T4. Ainsi, le reishi agit directement sur les virus et indirectement par les anticorps fabriqués en plus grand nombre par les lymphocytes B. Ces anticorps vont alors neutraliser les antigènes viraux du papillomavirus.

Vous pouvez aussi découvrir le reishi dans cette fiche mycologique ou dans cette vidéo de notre chaine YouTube :

Le germanium, lui, est un élément atomique simple qui augmente la quantité de lymphocytes T producteurs de cytokines. Cela va donc aussi aider à augmenter la réponse immunitaire.

Ainsi, en faisant surveiller médicalement l’évolution des lésions de la muqueuse utérine, et en prenant ce traitement naturel préventif, il est possible d’éliminer le papillomavirus. Ce même traitement naturel préventif peut aussi active les macrophages, globules blancs qui assainissent la muqueuse lésée, ce qui en favorisera la cicatrisation éventuelle.

Quelques témoignages marquants

Nous avons eu deux résultats probants :

Mme S. C. avait une infection par le papillomavirus avec des lésions suspectes mais pas encore cancérisées. Elle a pris ce traitement pendant 3 mois, ce qui a suffit à éradiquer l’infection virale et à renforcer ses défenses immunitaires. Les lésions ont pu disparaître au bout de quelques mois, sans risque de cancer, ce qui a été contrôlé médicalement.

Mme S. L. avait une infection par le papillomavirus, avec une lésion à surveiller médicalement. Au bout d’un mois de traitement, il n’y a plus eu d’infection par le virus, ce dernier ayant totalement disparu. La lésion, sous surveillance, est restée, et sera traitée médicalement si nécessaire, selon les médecins qui suivent cette cliente. Le but sera alors d’éviter que les cellules ayant été infectées ne deviennent cancéreuses.

En cas de besoin, vous pouvez nous contacter sur ce site pour obtenir une consultation de naturopathie.

Evidemment, un suivi médical spécialisé est absolument nécessaire, car le risque est de laisser passer une cancérisation très dommageable pour l’avenir de la femme concernée.

En complément des traitements classiques, vous pouvez aussi prendre de l’acérola riche en vitamine C et de la vitamine D naturelle issue du lichen.

Alain Tardif

Alain Tardif est naturopathe depuis 1996, titulaire d’un doctorat (Ph. D) en médecine alternative et complémentaire de l’université de Moscou.

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