Description
Le karela, un fruit aux propriétés hypoglycémiantes
Le karela est appelé aussi le melon amer (Momordica charantia) en raison de sa saveur très prononcée et de son aspect globuleux orangé. Ce fruit ovoïde possède des rangées épineuses sur toute sa longueur. Malgré sa saveur souvent très amère, il est comestible, et largement cultivé et consommé en Afrique, aux Caraïbes et en Asie.
Ce fruit est réputé avoir une action hypoglycémiante. Il doit cette propriété à des polysaccharides qui stimulent la production d’insuline par les ilots de Langerhans, dans le pancréas. Par ailleurs, il augmente la consommation de glucose par les cellules. On peut donc l’utiliser pour stabiliser la glycémie, pour toute personne ayant une tendance à une hyperglycémie.
Vous pouvez l’employer en synergie avec le gurmar, ou Gymnema sylvestris, qui est la plante anti sucre par excellence.
Composition
100% poudre du fruit du karela. Gélules en pullulan dosées à 300 mg. Produit sans conservateur ni excipient. Produit non biologique.
Mode d’emploi
Vous pouvez prendre un à deux gélules de karela en poudre avant chaque repas avec un peu d’eau. Vous pouvez en faire une cure longue durée en alternance un mois sur deux avec le gurmar, le pleurote ou le shiitake.
Ce produit ne possède pas d’effets secondaires connus.
Indications classiques
- Permet de réguler la glycémie.
- Active le travail du pancréas.
- Permet de limiter les envies de sucre.
- Favorise la combustion des calories et notamment du glucose par les cellules.
Précaution d’emploi
Ce produit est un complément alimentaire. Il ne remplace donc pas les médicaments et ne dispense pas d’un suivi auprès d’un médecin.
Chez certaines personnes, il peut provoquer des désagrément gastriques.
Si vous avez un effet indésirable, déclarez le auprès du dispositif de Nutrivigilance sur la page internet suivante : https://www.nutrivigilance-anses.fr/nutri#!
Une synergie utile
Vous pouvez utiliser le karela en synergie avec le gurmar, comme indiqué plus haut, mais aussi avec le complexe de bourgeons glycémie, qui va aider à renforcer l’action du fruit de karela.
Si vous avez des envies de sucre, il est possible qu’il y ait une cause compensatoire, d’origine émotionnelle. Cela peut venir d’un sentiment d’abandon, auquel cas vous pourrez prendre l’élixir de châtaignier. Cela peut aussi venir d’un sentiment de manque affectif, avec une tendance à l’amertume, auquel cas nous vous conseillerons l’élixir de pyrole à une fleur.
Le mélange olfactif consolations peut être également intéressant pour agir en limitant le besoin de sucre, souvent utilisé comme moyen d’apaiser certaines rancœurs ou certains besoins de consolation.
Et question alimentation ?
La gestion de la glycémie repose aussi sur une bonne alimentation, surtout si vous avez un diabète de type 2 (diabète dit gras).
Vous devrez déjà éviter tout ce qui est trop riche en sucre simple, comme le miel, le sucre, les aliments trop sucrés, les sodas, le raisin, le melon, la pastèque.
En revanche, vous devrez limiter la ration de féculents et farineux à 50 grammes par repas (surtout dans le cas du diabète de type 2).
Et vous pourrez utiliser des aliments brûleurs de calories ou hypoglycémiants, comme la myrtille, la poire, le salsifis, le romarin, les algues marines, l’ananas, les crosnes, les topinambours, l’oignon, les champignons.
Le saviez-vous ?
Le melon amer, ou concombre amer, est un fruit comestible surtout cuit, lorsqu’il est vert clair ou à peine orangé.
Ce fruit qui provient d’Afrique est largement consommé dans ce continent, mais aussi en Inde et dans tout le Sud Est Asiatique, jusqu’en Chine. Le melon amer est souvent préparé sauté, avec de la viande, des crevettes ou des œufs.
Sur l’Ile Maurice, on l’appelle le margose.
Lorsque ce fruit est cuit, une partie de l’amertume est éliminée. Si on veut le consommer cru, on peut le couper en morceaux et le laisser tremper dans l’eau, pour éliminer une partie de sa saveur amère.