Ce label Union européenne bio certifie que ce produit est conforme à une agriculture biologique.
Description
Le Phytotriplex fer, pour combler les carences en fer
Ce Phytotriplex contient les plantes suivantes : Ortie piquante, cresson, eau florale de sarriette. Le Phytotriplex fer est un concentré de plantes utile comme complément alimentaire en cas de carence en fer, pour les femmes notamment. Tel le complément alimentaire à base de spiruline, il contient également du fer. La spiruline apporte en plus une grande quantité de protéines. On notera qu’il est nécessaire de consommer la vitamine C naturelle pour rendre le fer assimilable. En principe le Phytotriplex fer se suffit à lui même, car le persil contient aussi de la vitamine C.
La liste européenne des plantes en attente d’allégation répertorie l’ortie, reconnue pour son apport en fer. Le cresson est également riche en fer et en vitamine C. La sarriette améliorera le tonus général, car la personne carencée en fer est généralement fatiguée physiquement.
Pourquoi le fer est utile pour notre organisme ?
Voici une vidéo publiée dans la chaine YouTube de la naturopathie.
Phytotriplex Fer : quelles sont les précautions d’utilisation ?
Le Phytotriplex ne doit pas remplacer un traitement médical approprié ni une alimentation variée. Ne pas laisser à la portée des jeunes enfants et ne pas dépasser la dose conseillée.
La liste des allégations nutritionnelles et de santé autorisées est fixée par le règlement CE n°1924/2006. Le règlement européen est disponible sur le lien http://eur-lex.europa.eu/legal.
On ne donnera pas le Phytotriplex fer chez les femmes allaitantes, car le persil fait tarir les montées de lait.
Ingrédients & composition
Composition du Phytotriplex : eau florale de sarriette, extraits de cresson et d’ortie piquante, eau minérale de Saint-Géron, Glycérine végétale, Extrait de vin*, acidifiant : acide malique.
Flacon de 150 ml. Un demi-bouchon contient 5 gr de plantes fraîches à parts égales. Certifié bio par Ecocert. Agriculture UE.
*L’extrait de vin ayant été bouilli, il ne reste plus d’alcool résiduel.
Posologie
Dose d’entretien : une cuillère café ou 5 ml de triplex le matin à jeun.
Dose d’attaque : un demi à un bouchon de triplex dans la journée.
Le Phytotriplex fer bio est à prendre pur ou dans un peu d’eau. Conserver au frais après ouverture.
Indications classiques
- Carence en fer
- Tendance à l’anémie
- Fatigue physique
- Fatigue musculaire et tendance aux crampes musculaires
Une synergie intéressante
Le Phytotriplex fer est utile à prendre chez les personnes dénutries et fatiguées. Aussi est-il intéressant de le prendre en combinaison avec le cordyceps, qui est un bon tonique musculaire.
Si vous avez besoin d’optimiser la fixation du fer dans les globules rouges, vous pouvez associer ce Phytotriplex avec le tamaris, un excellent bourgeon qui facilite l’utilisation du fer dans la rate.
Si vous avez besoin d’une supplémentation en vitamine B 12, indispensable aussi pour fixer le fer, vous pouvez prendre la vitamine B 12 naturelle de chez Oemine. Cette B 12 provient du germe de sarrasin et de la spiruline.
Quelle alimentation adopter ?
Deux principes sont à bien respecter :
- Toujours associer les protéines et les féculents aux repas principaux. Effectivement, l’alimentation dissociée aboutit généralement à une tableau de carence protéinique, pouvant se traduire par une carence de type anémie. N’oublions pas que le fer est fixé sur l’hémoglobine, qui est une protéine. Si vous vous carencez en protéines, alors vous ne pourrez plus fixer le fer correctement. Donc évitez l’alimentation dissociée.
- Veillez à consommer des protéines suffisamment complètes. Si vous êtes végan, vous devrez manger à chaque repas principal des algues et des champignons. Les protéines des céréales et des légumineuses ne sont généralement pas suffisantes. De plus, une carence en vitamine B 12 peut aussi aboutir à de l’anémie.
Enfin, notons les aliments riches en fer et anti anémiques, comme la carotte, le boudin noir, le chocolat, le cresson, le persil, le tétragone, par exemple. Les épinards en contiennent aussi, mais pas autant qu’on le croyait.
