Ce label Union européenne bio certifie que ce produit est conforme à une agriculture biologique.
Description
La bruyère bio, un des meilleurs drainant des reins
La bruyère (Erica cinerea) est une plante dont les fleurs servent à parfumer des bières en Ecosse, comme l’antique bière Leann Fraoch. Cette plante est très commune dans les régions siliceuses, où elle croit sur des terrains acides. Elle fleurit d’août à septembre, et colonise les landes et les talus forestiers.
Cette plante produit une fleur qui agit comme puissant drainant des reins. Elle favorise l’élimination des toxines. De plus, elle est diurétique, en améliorant le bon fonctionnement des reins.
C’est effectivement un grand spécifique des voies urinaires. Il permet de bien drainer les reins et la vessie, pour mieux éliminer les toxines du sang (créatinine, urée, acide urique).
Nous conseillons la bruyère bio aussi bien pour améliorer l’élimination de toxines que pour favoriser la résorption de rétention d’eau. De ce fait, on peut aussi la conseiller dans un programme amincissant, en complément de la tige d’ananas.
Notre bruyère bio est certifiée en agriculture biologique, de très haute qualité pour une meilleure efficacité sur la sphère rénale.
Vous pouvez découvrir cette plante dans cette vidéo de la chaine YouTube de la naturopathie, ou encore sur cette fiche botanique :
Ingrédients et composition
Pour trois gélules, poudre de bruyère bio sommités fleuries* : 690 mg ; enveloppe (gélatine, glycérine) : 225 mg.
*Produit issu de l’agriculture biologique. Agriculture UE. Boite de 100 gélules.
Si vous ne souhaitez pas avaler la gélatine de la gélule, vous pouvez répandre son contenu dans un peu d’eau tiède.
Mode d’emploi de la bruyère bio
Vous pouvez prendre trois gélules par jour de bruyère bio le matin à jeun, pendant une durée d’un à trois mois. La cure peut être prolongée à raison d’un mois de cure tous les trimestres.
Vous pouvez alterner ce traitement avec le Phytotriplex reins vessie.
Indications reconnues
- Confort urinaire
- Confort de la vessie
- élimination des toxines
- diurétique
- élimination de rétention d’eau
Ces indications sont reconnues selon les allégations autorisées.
Elle contient un beta glucoside d’hydroquinone, appelé arbutine, qui possède un fort effet diurétique et antiseptique des voies urinaires. Elle contient aussi un hétéroside, l’arbutoside, qui possède aussi des propriétés assainissantes des voies urinaires. Selon certaines études, cette substance empêche les bactéries pathogènes, et notamment Escherichia coli, de s’agripper aux parois de la vessie et de provoquer les irritations connues en cas de cystite.
Précautions d’emploi
Ce produit ne possède pas de réelles contre indications. Néanmoins, ne remplacez pas les médicaments par ce produit, qui est un complément alimentaire. Par ailleurs, il ne dispense pas d’un suivi médical.
Attention, une infection urinaire peut engendre des complications graves, ce qui nécessite un suivi médical impératif. En particulier, cela peut entrainer une grave infection rénale, pouvant aboutir à une insuffisance urinaire grave.
Si vous avez un effet indésirable, déclarez-le auprès du dispositif de Nutrivigilance sur la page internet suivante : https://www.nutrivigilance-anses.fr/nutri#!
Le savez-vous ?
La bruyère cendrée est proche de la callune vulgaire, qu’on nomme aussi bruyère. elles possèdent les mêmes propriétés. Mais de plus, la callune vulgaire est utilisée sous le nom de heather comme fleur de Bach, utile pour les gens qui ont une tendance à être un peu trop envahissant.
Cette espèce très commune est également une plante mellifère, qui produit un miel utile également pour la sphère urinaire. Vous pouvez d’ailleurs prendre le matin à jeun, à la place du petit déjeuner, une cuillère à soupe de miel de bruyère et trois gélules de bruyère avec un peu d’eau, pour un traitement naturel renforcé.
Attention, ce n’est pas cette bruyère qui fournit le bois dont on peut faire des pipes, mais la bruyère arborescente, qui est une espèce méditerranéenne de grande taille et qui produit de grosses racines.
