Description
L’ail bulbe pour vos artères
L’ail bulbe est un grand classique de la protection artérielle. Vous pouvez l’associer avec l’aubépine, une plante régulatrice du rythme cardiaque.
Effectivement, l’ail est tout d’abord un excellent anti oxydant, grâce à sa richesse en sélénium. Cela en fait un très bon protecteur artériel. Par ailleurs, il est reconnu pour réguler le taux de cholestérol sanguin. Enfin, l’ail bulbe est un bon diurétique, ce qui aide à drainer les toxines de l’organisme. Mais cela a aussi pour effet de baisser le volume sanguin et donc de diminuer la pression artérielle.
De plus, l’ail, grâce à sa richesse en soufre, est utile pour le foie et les voies pulmonaires.
Vous pouvez en savoir plus sur l’ail, dans cette vidéo de la chaîne YouTube de la naturopathie :
Ingrédients et composition de l’ail bulbe
Pour trois gélules, ce produit contient : 840 mg de poudre d’ail bulbe bio*, hydroxypropylméthyl cellulose (enveloppe de la gélule) : 225 mg, antiagglomérant : talc.
*Produit issu de l’agriculture biologique. Boite de 200 gélules.
Mode d’emploi
Vous pourrez prendre 2 gélules d’ail bulbe le matin à jeun avec un peu d’eau. La cure peut être prolongée pendant trois mois, et ensuite, renouvelée un mois par trimestre. Vous pouvez aussi alterner la prise de ce produit avec le prise de guggul, si vous voulez réguler le cholestérol, ou la prise de Phytotriplex cœur, si vous voulez réguler la pression artérielle.
Indications reconnues
- Stimule le système immunitaire.
- Antioxydant.
- Renforce la santé du cœur.
- Régule le taux de lipides sanguins (triglycérides et cholestérol).
- Améliore la résistance au stress.
- Améliore le travail du foie.
- Favorise les éliminations et réduit la rétention d’eau.
- Permet d’assainir les voies respiratoires.
L’ail est utile pour les voies respiratoires grâce à ses essences sulfurées du type sénévols.
Précaution d’emploi
Ce produit est un complément alimentaire. Il ne remplace en aucun cas un médicament et ne dispense pas d’une consultation auprès d’un médecin.
Si vous avez de l’hypotension, ce produit vous sera déconseillé. Par ailleurs, on déconseille l’ail bulbe si vous avez une hypothyroïdie.
Si vous avez un effet indésirable, déclarez-le auprès du dispositif de Nutrivigilance sur la page internet suivante : https://www.nutrivigilance-anses.fr/nutri#!
Quelques synergies utiles
Outre l’association avec l’aubépine, vous pouvez, si vous souhaitez mieux éliminer par les reins, associer l’ail avec l’ananas tige en gélules. Vous associerez aussi l’ail avec le chiendent s’il s’agit d’assainir les reins.
Pour améliorer la santé cardiaque, vous pouvez associer l’ail avec les extraits de bourgeons de lilas, qui favorise une meilleure circulation sanguine au niveau des artères coronaires.
Si vous voulez développer une meilleure résistance au stress, alors vous pouvez combiner l’ail avec la rhodiole, qui sera un bon adaptogène complémentaire.
Enfin, pour renforcer les défenses immunitaires en améliorant la résistance des voies pulmonaires, alors prenez l’ail en synergie avec le Phytotriplex clarté de la voix.
Question alimentation ?
L’ail est souvent considéré comme une panacée. Cela n’empêche tout de même pas de potentialiser ses effets avec une alimentation hypocholestérolémiante, adaptée aux terrains vasculaires. Les fruits rouges, la tomate crue, la pomme ou les agrumes, pris entre les repas, seront tout à fait les bienvenues.
Et pour vos vinaigrettes, utilisez le vinaigre de cidre, ainsi que les huiles d’olive, de lin, de noix ou de colza, riches en oméga 3 ou en oméga 9.
Le saviez-vous ?
L’ail cultivé provient probablement de l’Asie Centrale. Il est connu de la Mésopotamie et de l’Egypte Antique, il y a 5000 ans. On en retrouve des traces dans la plus ancienne recette de cuisine qui nous soit parvenue.
En Égypte antique, l’ail était très prisé et jouait un rôle important dans la société. Il est même dit qu’il fut à l’origine du premier conflit social lorsqu’on a supprimé la ration d’ail aux ouvriers bâtisseurs de la Pyramide de Khéops, ce qui montre l’importance que lui accordaient les Égyptiens de l’époque.
Il est connu aussi dès cette époque pour toutes ses propriétés médicinales. Le Papyrus Ebers, le plus ancien traité médical, mentionne l’ail 22 fois pour ses propriétés thérapeutiques. L’ail, considéré comme un fortifiant, était aussi donné aux soldats ou aux athlètes du monde Antique, notamment à Rome ou en Grèce.